Montagne et présence éternelle
Sur les chantiers par des pas répètes, une ombre se glisse,
Lé gérer et triste. Seule dans l obcrurité par la lune éclairée, je compte les années qui nous on séparées ici nous étions heureux.
Les bois riaient à nos jeux sous les pins embrumés, ton parfum s’attarder.
Nous leurs racontions notre amours à chacun de nos jours j’irais ou tu iras dis-je d’une voix. Remplie d’éternité à ta cause vouée, il y a ici encore tant de chose que le temps n’est capable d’effacer ni de faire oublier. La montagne en échos crie ton nom, chante tes mots ; elle n’a point oublié ces deux voix du passé. Qui se lévètont à jamais dans ce temple desté à la pointe de l’aurore elles résonnent encore de la vallée livide jus’ qu’aux crêtes aride
Au lever du soleil une tristesse vermeille
Attend en silence les aveux d’une présence.
Si aujourd’hui tu n’est plu, c’est que la vie s’est plut, A briser ses enfant, et mai, égarée chez les vivant, suspendu à la mort sereine, je te survie à grande peine et armée de tout mon courage, j’attends la fin de ton voyage, lorsque étendus sur notre lit de foi.
La vie véritable te révèlera
Auteur Nayhcruze